Les EMS ferment les portes pour empêcher le virus d’entrer

Deuxième vague Les cas de contamination se multiplient dans les homes valaisans.

A la fin de la première vague, en décidant d’ouvrir les portes des EMS, on a privilégié l’aspect social, les retrouvailles avec la famille et les amis. «Au début, tout se passait très bien, mais au fil des mois, on a constaté chez nos résidents et leurs visiteurs la même lassitude ressentie par le reste de la population. On a vu des masques s’enlever dès la porte de la chambre franchie, des enfants embrasser leurs parents…» explique Arnaud Schaller, directeur de l’AVALEMS (Association des homes valaisans).

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